All by myself, don't wanna be...
OH MY FREAKIN LORD!
Attention, attachez ben vos tuques, ça va barder. Pour fêter mon amie qui atteint en fin de semaine ses 22 ans, on est allées... Chez Mado!!! Hépipit? Hourra! Hépipit? HOURRA! Oh my god, c'est tout simplement dément. Laissez-moi vous dire que premièrement, je n'ai plus de voix à avoir autant hurlé et chanté les tounes sur lesquelles les dragqueens se déhanchaient. C'était complètement hallucinant, à en mourir de rire. Tout à fait génial et hilarant.
Tout plein d'hommes vêtus de robes, de bijoux, de gros makeup et de perruques, miam. D'accord, ça n'a rien d'excitant, mais cristie que c'est drôle. Je vous le jure, ça en vaut vraiment la peine. Moi, c'était ma première fois et certainement pas la dernière. Et puis, écoutez, les vendredis, au lieu de 9$ l'admission, pour les étudiants qui présentent leur carte, ça ne coûte que 4$. Franchement, c'est fabuleux. Et tordant jusqu'à la toute fin. Du lipsing, du déhanchement, des chorégraphies sur des musiques aussi variées passant de Britney Spears à Marie Carmen en visitant Mary Poppins (oui oui et c'était, ma foi, délirant) et Cabaret. Et vous savez quoi? Merde, ils les ont tellement, les corps. De vraies déesses masculines!
Ouais, sérieusement, quel merveilleux divertissement. I want more, I want more, I want more. More, more and more. Chez Mado, c'est la place où s'amuser. Surtout quand on décide d'embarquer à fond dans la game et de déconner autant que Mado et Nana sur scène entre les numéros. Absolument délicieux. Le mot de la fin, si bien mentionné par Nana: "Donnez-lui un standing ovulation!" (prononcé en anglais, évidemment)
Oh yeah, baby.