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Duel intime

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3 janvier 2009

Et si j'vous ramène des nouvelles nouvelles?

I still don't know what I want to do of my life. Mais l'an prochain, je serai à Montréal. Parce que j'ai pris ma décision et parce que j'en ai marre d'être où je suis présentement.

Tant pis pour la musique, tant pis pour le martyr, tant pis pour le programme de théâtre musical. De toute façon, je n'aurais pas eu l'argent nécessaire pour payer mes études l'année prochaine. Une an de break s'impose donc pour ramasser argent, passions, talents et buts de vie. Bienvenue dans le vrai monde, petite fille.

Et puis là, aujourd'hui, maintenant, tout de suite, à la seconde près, j'aurais le goût d'aller enregistrer un démo musical. Juste comme ça, même pas préparée. Pour le fun, pour la découverte, mais Dieu sait que je ne chante plus depuis déjà un bon bout. Comme si mes adieux au théâtre musical avaient balayé en moi l'envie de chanter. Adios. Pouf. Bye-bye. Ciao. Mais je finirai sans doute par replonger à fond dans la musique. Un jour. Surtout avec des désirs aussi grands et manipulateurs qui font parfois surface. Comme live. Cristie que je voudrais un micro devant moi simplement pour chanter et me faire plaisir. Toute seule, avec personne qui m'écoute. Only me.

Mais j'me tais parce que ce n'est pas à 23h20 que ce rêve fou se réalisera. Surtout pas avec ma grand-mère qui dort dans la chambre d'à côté. Ah, et puis, bonne année tout le monde. Parce que oui oui, I am still alive. Malgré mes absences courantes et prolongées, je pense à vous. Que l'année 2009 soit remplie de bonheur, de plaisir, de sagesse, d'amour et d'amitié, de découvertes, de surprises heureuses et de tout ce que vous désirez le plus ardemment.

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18 décembre 2008

Révélation choquante.

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Ce matin, ma mère m'a raconté (tout bonnement) que pendant mon enfance, je faisais énormément de cauchemars. Jusque là, tout est clair et normal. Comme j'en fais encore très souvent, il n'y a rien de croche dans toute cette histoire. Mais c'est ici que tout se corse et que moi, je pars en peur. Et pas seulement à la marche, oh que non, mes chers amis! À la course, oui, à la course. À toute vitesse, c'est bien peu dire.

Elle gesticulait sans trop de peine et parlait assez rapidement quand elle s'est soudainement mise à rire toute seule à la table à dîner. Elle m'a expliqué que quand j'étais jeune, je me réveillais en larmes parce qu'il y avait des gens dans ma chambre. Je voyais des personnes autour de moi et ça me faisait peur. Cristie! Elle n'aurait pas pu me le dire avant? À ce moment-là, c'est moi qui me suis mise à rire toute seule à la table. Mais avec une assez grande nervosité dans la voix, merci.

Franchement, elle aurait dû me raconter cette histoire bien avant aujourd'hui. C'est seulement maintenant qu'elle se décide à parler... Pourtant, je lui avais déjà dit, maintes et maintes fois, que je ressentais certaines choses et que, dans mes cauchemars, des esprits venaient me déranger. Oh my god, elle aurait tant dû me dire tout cela avant. En tout cas, c'est une drôle de révélation, ça, c'est certain. Peut-être me prendrez-vous pour une folle, mais je n'en ai rien à faire. Savoir tout cela ne change pas rien à ma vie, mais désormais, j'ai l'impression de comprendre quelques petits trucs. Moi qui refuse d'entendre et de voir des phénomènes... j'ai toujours dit à ma mère que ma chambre était un endroit froid et étrange. Un endroit bizarre qui ne m'inspire pas toujours confiance et qui me donne la chienne.

Seigneur, je n'en reviens pas. J'ai dû mettre tous ces souvenirs dans un vieux tiroir enfoui au fin fond de ma mémoire. De peur que tout se répète. Pour essayer d'oublier ma phobie et mes angoisses. Ouais, ce matin, c'était une conversation franchement bizarre.

11 décembre 2008

Le summum de l'angoisse, c'est moi.

Eh merde. Je ne sais pas du tout ce que je vais faire. Je suis tellement perdue, tellement déboussolée ces temps-ci. En fait, depuis le début de la session, mais là, je dois agir et vite en plus. Et ça m'angoisse totalement parce que même si on me dit d'écouter ce que mon coeur me dicte, je ne sais pas ce qu'il veut. Il est lui aussi autant mêlé que moi. Seigneur, que faire? Je doute sans arrêt et je m'évanouis de nervosité à l'idée de prendre une décision. Je ne sais, je ne sais plus, je n'ai jamais su. Qu'est-ce que je veux faire? Qu'est-ce qui est le mieux? Pour eux, pour nous, pour moi? Oui, pour moi...

J'ai tellement envie de tout foutre en l'air, simplement pour ne pas choisir. Je sais bien que personne ne peut prendre la décision à ma place, mais j'aimerais tellement qu'on me dise quoi faire. Qu'on me permette d'aller faire un tour dans le futur, regarder les deux alternatives et ses résultats, revenir en arrière et choisir. Mais c'est impossible. J'attends un signe, mais il n'y en aura pas. Il n'y a que moi pour décider. Mais quoi? Je ne sais pas.

Terminer mon DEC en Arts et lettres cette année ou retourner en théâtre musical et finir l'an prochain? I don't freaking know. Je ne sais tellement plus que même les listes de pours et de contres n'arrivent pas à m'aider. Les résultats sont identiques, les mêmes nombres partout, kin! Putain, ça me fout trop la trouille. Je veux quoi, j'aime quoi, j'espère quoi? D'un côté, si je finis cette année, l'an prochain, je peux aller m'installer à Montréal. Et il faut dire que je suis plutôt fatiguée d'être à la même place depuis trois ans. De l'autre côté, je ne sais pas en quoi m'inscrire ni que faire de ma vie alors si je reste ici, j'aurais une autre année pour y penser. D'un bord, j'adore le projet de création auquel je me suis dévouée de A à Z depuis septembre et la gang est plutôt superbe. De l'autre bord, ma passion a toujours été le théâtre musical et à chaque fois que je vais voir un spectacle à l'Option-Théâtre, mon coeur se transforme en ouragan pleurnichard et mélancolique.

Et là, j'en passe. Parce que s'il me fallait décrire chaque petit détail qui me passe par l'esprit depuis un bout, j'écrirais non seulement quelques pages, mais bien un roman au complet. I am lost. Vraiment et intensément. Et il n'y a aucune boussole pour m'indiquer le Nord. Ah, je m'énerve. J'ai peur. Parce que j'ai l'impression que d'une manière ou d'une autre, je vais avoir des regrets et des remords. De la merde. À moi.

Réveillez-moi quand la décision sera prise et qu'elle sera la bonne. En plus, je vais tant me mettre à dos des gens d'une façon ou d'une autre. Merdouille, double merdouille, triple fucks.

17 novembre 2008

Je suis désolée, mais vous ne me verrez plus sur

Je suis désolée, mais vous ne me verrez plus sur la blogosphère pour un petit bout de temps. Mon ordinateur portable m'a lâché. Il a crevé, il est mort, décédé et enterré. Et j'ai perdu toutes mes données, c'est-à-dire mes milliers de chansons, mes écrits depuis l'âge de 14 ans, mes photos de voyage, mes souvenirs, mes adresses et numéros de téléphone. Tout. Tout tout tout. Alors je ne pourrai plus revenir ici avant Noël, sans doute.

Peut-être que je pourrai passer de temps à autre par l'intermède d'un ordinateur de l'école comme je le fais présentement, mais... c'est plutôt impersonnel. Surtout quand la salle est bondée de yeux voyeurs. Enfin, je tenais tout de même à vous avertir de la situation. Je reviendrai sûrement pendant le temps des fêtes, quand je serai procurée un nouvel ordinateur portable beat et performant. Pour l'instant, je me fais chier en travaillant dans les classes d'ordinateur du Collège qui empestent et crèvent de chaleur.

Voilà, bonne vie à tous et à toutes. Moi, j'en ai marre de poireauter devant un ordi de l'école alors je retourne chez moi. Commencer mes devoirs à la main pour ensuite, éventuellement, les retranscrire au clavier. Beurk. C'est l'horreur. Une vraie perte de temps, mais surtout, d'argent. Quand je m'achèterai mon portable. Ouch, ça va faire mal.

8 novembre 2008

Eh ben.

Un jour, y'a peut-être deux mois, j'ai fait quelque chose que je n'aurais jamais cru faire auparavant. Malgré mon obstination à ne pas céder à écrire sur des sites de rencontre (en fait, c'est un site destiné aux gens de mon petit chez moi), j'ai fini par me contredire. Et passer à l'acte. Après avoir visionné son profil des dizaines de fois, j'lui ai finalement envoyé un petit mot en privé. Parce qu'il se passionnait pour la même musique que moi et du coup, ça m'a charmé. Puis, on s'est mis à parler, à discuter, à partager nos goûts musicaux. Jusqu'à ce qu'arrive MSN, chose dont j'avais oublié l'existence depuis un bout déjà. Où on a pu entâmer des séances de blabla encore plus larges.

Mais voilà qu'il est parti pour l'Ouest canadien. Avec un copain. Pour tripper, observer, découvrir, apprivoiser, admirer, travailler. Bref, avoir du fun. Et aujourd'hui, il est venu me parler. Après près d'un mois déjà à ne pas avoir pu s'adresser la parole. Et il a mis sa caméra, question de me montrer dans quoi il habite là-bas.

C'est drôle comment voir une personne en action est différent que de la voir sur des clichés. Il fûme la cigarette, il se ronge les ongles, il a une voix très campagnarde (entendue sur un vidéo). Mais il détient sans doute le sourire le plus franc. Enfin, de toute façon, il n'y a jamais eu d'espoir entre nous, ni quoi que ce soit et il n'y en aura jamais. Mais c'est drôle, cocace. C'est curieux de voir à quel point on peut s'imaginer certaines personnes d'une manière et de les découvrir autrement. Ouais, dans ma tête, il n'était pas ainsi, mais je n'ai rien à dire, car s'il me voyait, il dirait sûrement qu'il ne me voyait pas de la même manière. 

Au moins, j'ai droit à des aventures, des anecdotes, des bouts de vie et des discussions musicales intéressantes. Il vaut mieux en profiter. Pour une fois que je connais un gars avec du bon goût. C'est une blague, ne vous inquiétez pas. Sur ce, bonne nuit.

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1 novembre 2008

Tiens, dans la gueule de l'arbre. Adios et bon débarras.

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Esti de maudites voisines à marde. J'peux bien croire qu'hier c'était l'Halloween, mais de là à faire chier tout le reste du bloc appartement. À commencer par moi parce que ma chambre est collée sur les vôtres et que nous avons des foutus murs de carton.

Ok, vous avez le droit de fêter. Je le consens. Et je vous en donnais l'autorisation mentale, même. Parce que bon, tout le monde sait qu'il faut s'amuser de temps à autre dans la vie. Surtout quand les vendredis arrivent et qu'en plus, il y a fête spéciale. But there's a freaking limit.

On ne vous a jamais dit que les bars restent ouverts jusqu'à trois ou quatre heures du matin pour y fêter? Parce que là-bas, vous n'embêtez pas personne et vous pouvez laisser les autres dormir en paix. Vous pouvez chanter, boire, danser, faire du bruit et gueuler comme bon il vous semble sans déranger personne. Mais non, bande d'idiotes. Vous n'avez pas compris l'utilité de ces places.

D'accord, je suis une petite fille gentille. Je comprends que parfois, c'est plus plaisant de faire un party à la maison. C'est plus grand, c'est plus intime, c'est parfois moins cher. But all the fucking time? All the fucking time? Every week? Every day? Non, pas du tout. Et là, hier, c'était la goutte qui fait déborder le vase.

Come on, give me a break. À quatre heures du matin, être encore en train de gueuler comme des retardées et de chanter des ostis de tounes comme "Un ange qui passe"?! Tabarnak. C'est une horreur, c'est une véritable plaie. Mes oreilles saignaient, merde. Et puis, y'a aucun sens de respect dans vos petites têtes d'imbéciles, les voisines. Quatre heures du matin! Quatre heures du matin, merde!! Hey oh, je pense qu'un moment donné, on peut se calmer les ardeurs.

Combien de temps Quidame a-t-elle dormi hier soir? Combien? Bof, peut-être de cinq à neuf? Un bon petit quatre, en résumé. Allez vous faire foutre. Et puis, une chance qu'à un certain moment je me suis tannée, hen. Parce que sinon, vous auriez sans doute continué aussi fort et aussi intensément jusqu'à je-ne-sais-quelle-heure. Ouais, parce qu'un moment donné, une fille s'écoeure. C'est pour ça qu'elle emploie les poings pour tabasser le mur, lui donner une foutue volée. Tsé, pour faire passer le message parce que toutes seules, vous ne pouviez pas comprendre que 1 + 1 = 2. Esti. J'en ai plein le cul et en plus, je suis brûlée ben raide et je ne peux pas aller me recoucher. La première personne qui m'approche, je la mords.

1 novembre 2008

Halloween.

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Halloween, Halloween, Halloween. Que je ne fête pas aujourd'hui, mais bien demain soir. Parce que ouais, moi, je suis presque cool. Je fais le contraire des autres. Je porte le costume en retard, une journée plus tard que tout le reste du monde. Ouh, je suis une petite rebelle...

Attention, demain, je me vêtirai de mes plus beaux habits en cette occasion spéciale. Je sortirai les plus magnifiques apparats de mon garde-robe pour me transformer en un élégant et comique scout rebelle. Oui oui, vous avez bien lu. J'ai ressorti ma banderole de scout ainsi que mon foulard, datant du temps où je n'étais encore qu'une pauvre petite fille à la campagne pour les ramener à la mode. Enfin, presque.

Et puis, je vendrai des petits chocolats, comme tout bon scout se doit de faire, afin de remettre l'argent à l'UNICEF et aider les enfants des autres pays. Ouais, je me trouve pas mal drôle avec mon idée. En tout cas, chose certaine, mon amie a été prise d'un fou rire en apprenant comment je deviendrais populaire à l'Halloween.

Aussi, j'ai bel et bien parlé d'un scout rebelle. Pas un petit nerd tranquille. D'accord, oui un petit nerd, mais quand même. Un petit nerd qui veut défier l'autorité. Sa façon de contrer les normes? Porter fièrement ses cheveux... BLEUS! HOURRA! Qui est la plus géniale? Moi! Ok, je l'avoue, je me trouve cool, mais il faut me dire d'arrêter, tsé.

Yup, ce sera une belle soirée demain. Surtout que là, en plus, j'ai une mission. Oui, une mission digne de... moi. Je dois trouver des jeux d'alcool intéressants à faire avant de se rendre au party d'Halloween. Question de se délier la langue et de se dégourdir la tronche. Et de moins dépenser une fortune dans les drinks déjà tout faits là-bas. Miam miam miam. Du fort, des dés, des cartes, des questions, de la gêne et encore du fort. GÉ-ANT!

Il est inutile de mentionner que j'ai hâte...

J'AI HÂTE!!

Oh, et passez un bel Halloween. Rempli de bonbons, de joie et de sourires. Et peut-être de quelques petites caries, aussi. Bah quoi, il faut être réaliste! En plus, je n'en ai pas mangé un seul encore. Chocolat, j'veux dire. Puis, je n'ai rien acheté. Rien à mettre sous ma dent. J'vais attendre que les prix réduisent de 50%... Ah, comme je suis espiègle! Bon, assez de conneries, je vous laisse.

29 octobre 2008

Next year, I'll...

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Pour l'année prochaine, j'ai trouvé mes futures colocataires. Eh oui, c'est presque totalement officiel. En tout cas, je pourrai bien dire que dans ma vie, moi, j'en ai eu des colocs! Avec les deux autres qui viendront dans un an, je serai rendue à six différentes personnes avec qui j'aurai partagé un bout de mon existence. Et plus j'y pense, plus je crois que je ne suis pas une fille qui a de la difficulté à s'adapter à ce genre de changements. Je m'arrange plutôt bien avec tout le monde, du moins, je le pense. À part avec D. l'an passé, tout s'est toujours bien terminé avec mes colocataires. De belles amitiés en sont même ressorties au fil du temps. Et puis, même avec D., tout fonctionne encore sur des roulettes, mais je sais que plus jamais, je n'irais habiter avec elle.

Alors ouais, après des semaines de fausses subtilités, elles ont fini par me demander si je voulais bien me trouver un appartement avec elles. Après des "Ah, tu sais, moi et G., on va déménager à Montréal l'an prochain et... toi?" et des "Ah Montréal, c'est certain que c'est ma future maison, tu sais...", j'ai fini par comprendre le message. Quoi qu'en même temps, déçue par l'idée de les voir partir seules en appartement, je changeais rapidement de sujet, ne saisissant pas tout de suite leur stratagème. Mais maintenant, c'est officiel. Elles me l'ont dit mot pour mot et s'en étaient même parlé avant à maintes reprises entre elles. Yup, elles me veulent comme coloc. Hourra, quel bonheur. Et puis, je sais que tout ira bien puisque nous avons toutes trois été élevées sensiblement dans les mêmes normes, ayant le même genre de parents.

Et comme je les connais depuis des lustres, c'est-à-dire depuis l'âge de 11-12 ans, on n'a plus vraiment de secrets. Ouais, on est des bonnes amies qui savent se parler dans le blanc des yeux lorsqu'il le faut tout autant que de prêter leurs oreilles lors de moments plus compliqués. De bonnes petites filles, quoi. Et plus j'y pense, plus on aura un fou énorme à habiter ensemble. Ce sera la folie, la véritable folie de l'heure. Le bonheur total, le respect, le sourire, la propreté, le déconnage, le rire, le rangement, l'honnêteté. Et parfois aussi les engueulades, les malentendus, les angoisses, mais vite réglés et consolés.

Allez hop, un stress de moins pour l'an prochain. Il ne me reste plus qu'à trouver un appartement, économiser et être acceptée en DEC de Design d'intérieur au CÉGEP que je veux. Et oui, vous avez tout compris; je vais me taper un second DEC. Pas d'université pour moi. Du moins, pas pour l'instant. Oh, et dire qu'hier j'ai reçu un appel de la SAQ pour une offre d'emploi pendant le temps des fêtes et que finalement, il y a conflit dans les horaires. Quelle tristesse. Adieu 18,65$/heure, adieu les folies, adieu l'argent mis de côté, adieu lueur d'espoir. Mais la prochaine fois, ce sera la bonne. Oui, ce sera la bonne. Mon petit nez (PERCÉ!) me le dit.

23 octobre 2008

J'suis là.

Ouin ben, c'est demain Star Académie. Pis j'l'ai finalement dit à ma mère au téléphone. J'crois qu'elle ne tenait plus en place, elle était toute excitée. Elle a dû me faire répéter la nouvelle au moins deux ou trois fois pour être certaine qu'elle ne rêvait pas. Ouais, elle est comme ça, ma maman. Et puis là, elle ne pensait plus qu'au moment de raccrocher parce que Mâdame allait appeler toutes ces copines pour leur annoncer la bonne nouvelle. Hey oh, c'est une audition comme une autre, merde. Mais bon, j'peux bien la laisser rêver aussi. Après tout, elle peut bien faire ce qu'elle veut. Et puis, j'm'en fous un peu.

Et c'est dimanche que j'me fais percer. J'ai vraiment extrêmement hâte, c'est pas possible. J'en rêve, j'en meurs d'envie. Au diable la douleur quand l'aiguille va transpercer ma peau, I don't give a shit. J'ai juste hâte d'avoir un beau petit nez percé. Hourra.

Oh, et si vous ne connaissez pas, alors ne regardez pas, hen. Gossip Girl, j'veux dire. Car si on ose regarder une fois, on devient accro. Oh que oui. Des querelles entre deux meilleures amies bitches qui se font les pires coups chiens, c'est géant. Dans un environnement de snobinards en plus, c'est encore mieux. Ouais, c'est addictant. Pire qu'une drogue, j'ai besoin d'une petite dose au moins une fois par jour. Miam, c'est bon, ça fait du bien. Alors ouais, sur ce, j'vous quitte pour aller regarder... Gossip girl. XOXO, comme la narratrice dirait!

18 octobre 2008

All by myself, don't wanna be...

mado

OH MY FREAKIN LORD!

Attention, attachez ben vos tuques, ça va barder. Pour fêter mon amie qui atteint en fin de semaine ses 22 ans, on est allées...  Chez Mado!!! Hépipit? Hourra! Hépipit? HOURRA! Oh my god, c'est tout simplement dément. Laissez-moi vous dire que premièrement, je n'ai plus de voix à avoir autant hurlé et chanté les tounes sur lesquelles les dragqueens se déhanchaient. C'était complètement hallucinant, à en mourir de rire. Tout à fait génial et hilarant.

Tout plein d'hommes vêtus de robes, de bijoux, de gros makeup et de perruques, miam. D'accord, ça n'a rien d'excitant, mais cristie que c'est drôle. Je vous le jure, ça en vaut vraiment la peine. Moi, c'était ma première fois et certainement pas la dernière. Et puis, écoutez, les vendredis, au lieu de 9$ l'admission, pour les étudiants qui présentent leur carte, ça ne coûte que 4$. Franchement, c'est fabuleux. Et tordant jusqu'à la toute fin. Du lipsing, du déhanchement, des chorégraphies sur des musiques aussi variées passant de Britney Spears à Marie Carmen en visitant Mary Poppins (oui oui et c'était, ma foi, délirant) et Cabaret. Et vous savez quoi? Merde, ils les ont tellement, les corps. De vraies déesses masculines!

Ouais, sérieusement, quel merveilleux divertissement. I want more, I want more, I want more. More, more and more. Chez Mado, c'est la place où s'amuser. Surtout quand on décide d'embarquer à fond dans la game et de déconner autant que Mado et Nana sur scène entre les numéros. Absolument délicieux. Le mot de la fin, si bien mentionné par Nana: "Donnez-lui un standing ovulation!" (prononcé en anglais, évidemment)

Oh yeah, baby.

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