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Duel intime
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30 octobre 2009

Autre chose à rajouter? "AGAIN". Ah, pis 100e note.

Attention, bloquez-vous les yeux, car je suis encore ici pour faire du stupide blabla sur des emplois. Oui oui, again and again and again. Mais cette fois-ci, ce sera peut-être la bonne. On verra bien. Dans un peu moins de 12 heures, je commencerai une nouvelle formation en but de mon tout nouveau job. Si si!

J'ai envoyé mon CV la nuit dernière à minuit et ce matin même, on m'appelait pour un entretien. La chance des débutants? Le parfait timing? I don't know, mais chose certaine, je suis allée à cette entrevue qui, finalement, s'est bien déroulée. I guess, en tout cas!

Petit hic, je n'ai pas beaucoup aimé l'expérience parce que c'était une rencontre de groupe et j'avais vraiment l'impression de dire n'importe quoi en plus d'être la plus jeune. Beurk beurk beurk. J'ai probablement critiqué mes dires un peu trop sévèrement puisque la dame m'a dit que son adjointe et elle étaient très emballées à l'idée de travailler avec moi.

Il faut croire que je dégage un petite quelque chose pendant les entrevues, car je n'ai jamais eu de réponse négative lorsque je me rendais à l'étape "entretien". C'est une bonne chose à savoir. Maintenant, il ne me reste plus qu'à appliquer cette confiance dans la vie de tous les jours!! Hop hop hop, le chemin vers la connaissance et l'acceptation de soi est toujours parsemé d'embûches.

Anyway, je suis toute excitée depuis la grande annonce de ce soir. J'ai peut-être ENFIN trouvé une belle job. Je me croise les doigts pour que j'aime l'ambiance, le monde, mon travail et mes heures.

Montréal, here I come!! 

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25 octobre 2009

I cried myself out in a park.

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Hier matin, à l'heure de mon départ pour la job, j'ai eu une énorme crise de larmes. Il pleuvait à grosses gouttes dehors, j'avais mon parapluie dans les mains et je me dirigeais vers le métro quand ça m'a pogné one shot.

Depuis mardi midi, je suis sur le plancher et j'appelle des gens pour leur dire qu'ils sont dans la merde et qu'ils doivent de l'argent. Pas cool, pas cool du tout. Non seulement on nous gueule après, mais la sensation de les "harceler" pour se faire payer, c'est vraiment désagréable. En plus, je ne suis pas une fille de type téléphone alors qu'est-ce que je fais là? À quoi j'ai pensé à prenant cet emploi? Que la vie serait plus rose quand je serais devant l'écran d'ordinateur et que je téléphonerais les endettés? J'ai été idiote, complètement idiote. J'avais besoin d'argent, je voulais à tout prix sortir de la zone rouge, ne plus avoir ma carte de crédit loadée et rien en banque alors j'ai pris le travail. Résultat? Après deux semaines de formation intensive et une semaine sur le plancher, j'éclate en sanglots.

Ouais, hier matin, à 7h15, j'étais sous la pluie à un coin de rue de mon appartement et j'avais le visage rougi par les larmes. D'ici au coin de rue, normalement, je mets deux minutes, mais hier, je marchais tellement à reculons que j'ai pris 15 minutes à parcourir la distance. Et puis, je n'ai plus été capable d'arrêter le flot. J'ai pris mon cellulaire et j'ai appelé ma maman. Une longue distance, si tôt un samedi matin. Je l'ai sûrement réveillé, je n'ai pas réfléchi, j'avais juste besoin de parler et de pleurer. En fait, j'avais besoin qu'elle me donne son approbation parce qu'elle a passé la dernière semaine à me dire de continuer à chercher un emploi sans quitter celui-ci. Mais là, je n'en pouvais plus et j'avais besoin qu'elle comprenne le mal que j'ai depuis le début de cette histoire. Elle a essayé de me consoler et m'a dit de retourner à l'appartement.

J'ai callé malade. Mais ils m'ont perdu, pour de bon. Je n'y retournerai plus. J'ai parlé avec ma maman. Elle m'a dit qu'elle était derrière moi et que je devais lâcher ce travail parce qu'au point où j'étais rendue, c'était malsain. Mon père m'a dit qu'il était fier de moi parce que j'avais réussi à tougher jusque-là et que là, je prenais la peine de respecter mes limites. Fin de l'histoire? J'ai dormi toute la matinée hier matin et j'ai beaucoup trop réfléchi. J'ai rédigé ma lettre de démission et j'irai la donner à mon recruteur demain en avant-midi. Bye-bye téléphone, bye-bye clients enragés, bye-bye malaise total!

Au moins, je vais avoir ma formation pour les élections ce mardi et je travaillerai mon huit heures pour la ville dimanche prochain. Ça me fera une petite entrée d'argent en plus de mon chèque d'une semaine qui rentrera dans mon compte d'ici deux semaines. J'aurai au moins de quoi payer mon loyer ce mois-ci! Ok, je serai encore une fois très très serrée, mais j'y arriverai. Et puis, j'ai pris une bonne marche de 2h30 aujourd'hui, question de me rafraîchir les idées et de remettre des CVs en face à face. Ça m'a fait du bien, je crois. Beaucoup. La température était juste parfaite avec un peu de soleil pour égayer ma journée.


Ok, ce n'est pas la chanson que j'écoute toujours en ce moment,
mais celle que je veux est introuvable!

20 octobre 2009

Dites-moi merde.

Souhaitez-moi bonne chance. Parce que vendredi matin, ce vendredi qui s'en vient, j'ai une entrevue pour une job que j'aimerais totalement et absolument avoir. Oui oui. Et pour avoir le poste, je devrai non seulement vendre ma salade, mais passer deux examens afin de démontrer mes capacités.

Mais quel est cette offre? Un emploi en tant que réviseure/correctrice d'épreuves. Yes, mesdames et messieurs. Ce que je souhaitais tant obtenir depuis mon arrivée dans la grande métropole. J'espère fortement que j'arriverai à les convaincre qu'il faut me choisir moi et non personne d'autre. Je me croise très très fort, jusqu'à ce que la douleur m'élance, les doigts. Je veux ce travail, je le veux vraiment. Tout pour fuir le centre d'appels et si en plus, je peux obtenir quelque chose que j'aime... Wow.

Et sur ce, je vais commencer à me préparer pour partir, car mon autobus passe dans un peu moins de quinze minutes. Adieu matinée musicale, bonjour après-midi de merde! Ouais, j'entre sur le plancher aujourd'hui même. Dans une heure exactement et jusqu'à 21h00. I wanna die. Vraiment beaucoup.

19 octobre 2009

Cri du coeur.

J'veux pas. J'ai la chienne et j'déteste ça. J'veux tout simplement pas y aller demain. Surtout qu'en plus, ce sera une grosse semaine de merde de 54 heures sans break. Du lundi au samedi, non stop. Au secours, I wanna die. Demain, c'est bye-bye training, bonjour les gens bêtes qui vont m'engueuler au téléphone. J'veux plus. Fuck l'argent, j'm'en câlisse. I just wanna leave it. Now. J'ai peur et ça m'rend malheureuse.

Ma mère avait raison, mon père avait raison, mes amies avaient raison, tout le monde avait raison. J'aurais dû choisir l'autre job. Mais j'en ai fait qu'à ma tête. Parce que j'étais dans l'négatif, solide. Ma santé est passée après l'argent. Mais là, j'subis. J'aimerais caller malade demain. M'en aller. Ne plus jamais y retourner. Fermer les yeux, oublier et tout foutre dans un tiroir du passé.

J'capote tight. J'l'ai déjà mentionné? Oh, eh bien tant pis. Parce que j'ai vraiment, mais vraiment la grosse chienne. Pis l'chien avec. Tout l'kit. Help. J'veux pas, j'veux vraiment pas.

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16 octobre 2009

Météo 101 par... moé!

D'accord, il fait tout simplement un tantinet frisquet. Non, il fait plutôt un peu froid. Pardon, il fait froid... Et pis d'la merde saint-ciboire, y fa' frette en tabarn**!!!

Raison? On ne le sait pas trop. Le chauffage, qu'on ne peut ni monter ni descendre car c'est notre proprio qui s'en charge, est parti ce week-end. Oui oui. Mais dès lundi matin, plus rien. Be-bye, adios. Pourquoi? I don't know. Depuis, mes colocs et moi, on veut mourir. On s'les gèle, putain! Et moi, qu'est-ce que je dis dans tout ça? "C'est quoi là? On a le chauffage en garde partagée? On l'a la fin de semaine, mais quand la semaine commence, il sacre son camp?!?" Ouais, sérieusement, j'en ai marre. J'pogne des frissons tout le temps tellement il fait froid. J'ai l'impression que je vais m'attraper une grippe avant le temps et le matin, quand j'me lève à 6h00, j'ferais tout sauf me lever et affronter le froid glacial au contact de ma peau. Bouhouhou, j'ai frette, cibole! Au secours! Pis la craque dans notre porte de cuisine...

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4 octobre 2009

Pendre la quoi?

Dude, il est tellement 4h30 du matin et je ne suis toujours pas au lit. Pourquoi? Tout simplement parce que ce soir, c'était notre pendaison de crémaillère. Ok, y'a presque personne finalement qui est venu, mais c'était l'fun quand même.

Et puis, j'ai eu droit à une méga surprise. Alors que je m'attendais à ce qu'aucune personne de mon CÉGEP ne vienne, ma meilleure amie s'est pointée le nez avec son chum. J'étais trop trop trop heureuse de la voir, surtout que ça faisait une éternité! Sérieusement, ça m'a tellement fait du bien de lui parler. La seule chose à laquelle je pouvais penser, c'était à quel point elle est trop géniale. Oui oui. Et vous savez quoi, en plus? Elle m'a apporté une bouteille de rhum brun Captain Morgan pour célébrer mon nouvel appart'. WOW, totally awesome! Et, ma foi, excellent aussi!

Ah pis finalement, j'commence dans le centre d'appel lundi matin. Formation de deux semaines. Ouais, j'ai choisi l'argent au-dessus de ma santé mentale. On verra bien ce que ça donnera. Dans l'fond, il me faudra juste décrocher de tout et me mettre des barrières si les gens se fâchent contre moi. Me déconnecter de la réalité et ne rien prendre personnel. J'espère que j'y parviendrai. Alors? Dernier jour de congé demain. J'pense que j'vais en profiter pour lire un peu et peut-être finir ma brique de pages. Sur ce, bonne nuit. Ou bon matin, plutôt.

2 octobre 2009

Job, job, job. Job?

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Eum, ok.

Trois entrevues en deux jours pour trois jobs différentes. Résultat? J'ai TELLEMENT eu les trois postes!!! Mais là, j'suis en grosse crise existentielle parce que je ne sais plus choisir. Choisir quoi? Pour quelles raisons? Et donner mes réponses en si peu de temps? Ouch.

En fait, j'ai déjà éliminé l'entreprise avec laquelle j'ai eu un entretien cet après-midi. Un genre de centre de "vente, mais pas vente" par téléphone. Yikes, kill me! En plus, le salaire est minimum donc...

Plus que deux choix, mais c'est Ô combien difficile!!

La job qu'on m'a offerte hier comporte plusieurs avantages: tout près de chez moi (genre 20 minutes de marche/métro), salaire assez intéressant, possibilité d'augmentation après trois mois, bonifications allant jusqu'à 400$ par mois, emploi stable de 40 heures/semaine (en fait, 45), horaire commençant à partir de midi pendant la semaine et à partir de huit le samedi, avantages sociaux, etc. Le gros hic? Beaucoup de blabla technique auquel je ne suis absolument pas familière, ambiance ô que trop déprimante pour vivre et compagnie, à la base, pas mal plus anglophone que francophone. Ok, je suis assez bilingue, mais juste à penser que je vais me métamorphoser en "square head" neuf heures par jour parce que les clients au téléphone ne comprennent pas un foutu mot français, bah... ça me déprime encore plus! (Je n'ai rien contre les anglais, mais ma langue première à moi, c'est le français, c'est tout! LOL.)

Entrevue de ce matin? Emploi sympathique situé au centre-ville, bonifications intéressantes pas mal à chaque mois, service à la clientèle, emploi de 40 heures/semaine, deux jours de congé qui se suivent, quelques week-ends au complet de libre, domaine de vente intéressant, équipe jeune et dynamique, employés motivés et motivants, moitié anglais, moitié français, etc. Désavantages? Loin de l'appartement (ok, pas tant que ça, mais c'est quand même 40-50 minutes de marche/autobus/métro), salaire moins compétitif que l'autre job, horaires indéfinis, avantages sociaux presque inexistants (je pense), vente à la commission par moments... Et le p'tit bonhomme tout gentil qui m'a posé des questions, il est trop gentil pour que je l'abandonne après quelques mois si je me trouve un meilleur emploi. Ben, j'pense. (C'est parce que la formation dure au moins trois mois et il veut des employés qui resteront là au minimum un an... j'me sentirais trop vache. Ouille.) 

Mais ah, câline, j'sais pus quoi faire! Une job me crie de la choisir parce qu'elle réussira mieux à payer mes dépenses nécessaires (bouffe, voyagement, cellulaire, internet, appartement, électricité, etc.) et l'autre hurle de me prendre parce qu'elle n'assurera pas ma dépression jusque dans l'fond du barry. Aïe aïe aïe, problématique, problématique, quand tu nous tiens! Pis le centre de design d'intérieur qui n'a toujours pas essayé de me contacter pour la job de réceptionniste... Ah, c'est tout tristounet!

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