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Duel intime

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18 septembre 2009

Du rose parce que c'est fe-fille pis désespéré.

Je ne sais pas si c'est parce que je passe désormais mes journées entières à regarder SEX AND THE CITY depuis une semaine déjà, mais j'ai soudainement envie de parler de ma vie amoureuse. Pas sexuelle, ne vous inquiétez pas, je dis bien «amoureuse».

À trop m'émoustiller devant les relations émotionnelles et corsées de ces quatre divas plus-que-géniales, j'ai moi aussi le goût d'écrire sur... absolument rien. Ouais, parce que moi, c'est le néant total. Le pervers échec. Pur et simple. Aucun gars dans ma vie, aucun mec possiblement à l'horizon, aucun amour à naître bientôt...

Et je me demande, je me demande vraiment: y a-t-il des bons gars à quelque part ou le monde n'est constitué que d'imbéciles qui ne veulent plus aucune relation stable? Qui désirent seulement des One Night Stand? Existe-t-il des chances de tomber sur un homme avec les valeurs aux bonnes places?

Je sais, je suis cruelle et injuste présentement, mais ma pensée se défoule. Excusez-la ou plutôt, excusez-moi. Dans le fond, ce que j'essaie de dire, c'est... si parmi les 20 millions de processus à suivre pour s'apprécier soi-même, on réussit finalement à s'aimer, y a-t-il une possibilité qu'il se pointera là, devant nous? Ce mec gentil et bien pour nous? Ou la société a-t-elle brainwashé tous les individus afin de les conformer aux standards de beauté dits de mannequins?! Et uniquement de cette taille? 

Avec mon look, avec mes rondeurs, y a-t-il un infime espoir qu'un jour, je trouve quelqu'un qui m'aime à ma juste valeur, avec mes qualités, mes défauts et mes imperfections? Quelqu'un qui pourrait aussi m'apprendre à m'aimer moi-même juste un p'tit peu plus?

Ouais je sais, je sens le pathétisme à plein nez, mais que voulez-vous?
Des fois, une éternelle célibataire s'acharne sur son sort. C'est comme ça, c'est tout.

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10 septembre 2009

Pow, pow, pow, pow, pow, pow, pow, pow, pow.

OSTI D'ALLERGIES DE CUL, MAN!!!

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6 septembre 2009

Bouhouhou, I want to get over it. Please?

2_angry5 Bon ben la "saga" nommée "Les malheurs de Quidame" continue encore et toujours. Après la cicatrisation qui a pris beaucoup plus de temps que prévu (et qui n'est pas encore tout à fait stable), les faux mouvements, les faux espoirs de guérison, le corps endolori, l'insomnie, la grippe, la fièvre, la toux, les éternuements, les yeux qui piquent et qui font mal et les allergies, voilà un tout nouveau symptôme (qui s'essayait d'ailleurs depuis déjà quelques jours) qui, hier soir, par deux coups, a totalement réussi. Attention, roulement de tambours... Mais quel est donc ce récent malheur? Ce petit bobo de plus sur le reste?

LE SAIGNEMENT DE NEZ!!!

Non, mais hourra, hen?! Quel bonheur! Et en plus, il veut même pas faire comme les autres; il s'en prend seulement à ma narine gauche. C'est un lâche and a half qui fait en sorte que j'dois être moumoune d'un bord, mais pas de l'autre. TABAR**$%?&(*("!/%*( !!!

Cristie, j'ai jamais eu ça de ma vie, des saignements de nez, et maintenant, c'est rendu qu'il faut que j'me watche. COME ON!! C'est ridicule, carrément pathétique. Et la cause de tout ça? On dit que la majorité du temps, c'est dû à l'air sec et aux allergies. YOUPPI! Non mais, ça ben d'l'air que j'ai gagné l'jackpot!! J'suis chanceuse, rare.

Mes parents, eux, pensent que mes allergies et toutes mes badlucks sont causées par le foin du lapin de ma coloc. Ouais, semblerait-il que mon père est allergique à ça... je retiens peut-être de lui. Si oui, damn him!!! Parce que je capote tight. Non seulement j'ai dû m'acheter des gouttes pour les yeux, mais aussi du Claritin et 20 000 boîtes de mouchoirs. Adieu beaux petits bidous, bonjour la maladie (et le découragement absolu)!

Anyway, c'est d'la merde. D'ici les prochains jours, même si j'ai la congestion nasale pognée jusqu'aux orteils, je vais devoir me moucher en fe-fille high class qui se trouverait dans une réception sophistiquée et importante: c'est-à-dire pas pentoute ou en faisant semblant!!! Yé... Et le comble dans tout ça? On dirait que je suis encore plus congestionnée qu'hier et avant-hier. HURRAY!

Who's the winner, who's the winner?! Certainement pas moi! The looser to the left, it's me!!

6 septembre 2009

Une note datant des alentours du 25 ou 26 août.

L’air de la grande ville ne me fait pas.

Du moins, pas pour l’instant, car j’y suis complètement allergique. Il faut dire que je suis habituée à l’air pur de la campagne et que, d’un coup, j’impose à mon corps un vent pollué et rempli de poussière. Je crois qu’il n’est pas content, pas content du tout.

Du matin au soir, j’éternue comme jamais, je me mouche je-ne-sais-combien-de-fois, mes yeux picotent tellement qu’ils deviennent rouges et enflés, je pourrais même faire compétition à Rudolph, le renne au nez rouge, tiens!

Déjà deux nuits dans mon appartement. J’ai presque terminé de vider les boîtes de déménagement pour ma chambre et ensuite, je m’attaque à celles contenant mes trucs de cuisine. Je sais que je ne devrais rien faire de tout cela pour le moment, mais c’est contre ma nature. It’s impossible.

J’ai beau être dans l’obligation (encore) de rester couchée jour et nuit, je n’y arrive pas. Il faut que je bouge un peu, je suis toute excitée. Mais dès que je fais le moindre effort, je me brûle inutilement et c’est le retour au lit. La convalescence est véritablement un long chemin pénible rempli de frustrations diverses. Comme je rêve d’enfin pouvoir m’asseoir sur un divan (ou une chaise) à nouveau!

Heureusement, je n’ai plus à me présenter chaque matin au CLSC pour qu’on change mon pansement. À ce stade-ci, je peux nettoyer et assécher ma plaie par moi-même. Il faut simplement que je m’assure qu’aucune infection n’apparaît.

Le mal est encore là, de temps à autre, mais c’est beaucoup moins douloureux. J’arrive même à dormir un peu maintenant! D’accord, il y a toujours ces deux foutus points qui ne veulent pas se refermer, mais la nature fera sans doute bien son œuvre et les aidera un peu. Du moins, je l’espère!

Et sur ce, il est peut-être grand temps que je m’habille et que je parte à la recherche d’un cellulaire puisque je n’ai toujours aucun moyen de communication... Ciao ciao!

15 août 2009

Une malade malade.

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«Ayoye, ça fait mal.»

C’est pas mal la seule chose que je peux dire et répéter depuis un peu plus d’une semaine. L’opération s’est bien déroulée ; il n’y a aucun signe d’échec dans la tentative, aucune infection, tout va pour le mieux, mais… d’un autre côté, la convalescence commence à se faire interminable. Encore à ce jour, je ne peux ni m’asseoir, ni me pencher ou même rester debout trop longtemps sans ressentir un inconfort. Je suis confinée au lit 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, les journées comme les nuits.

On a installé un matelas dans le salon afin que je puisse regarder un peu la télévision pendant le jour, mais mon corps en a maintenant plus que marre. Comme aucune position n’est confortable, il n’en fait qu’à sa tête et m’assène des douleurs dans les jambes. Je ne peux pas rester couchée sur un côté trop longtemps parce que le mal commence à se faire sentir et je dois alors me trouver une nouvelle position. Évidemment, il est hors de question de dormir sur le dos puisque la douleur est insupportable et ne permettrait pas au bobo de guérir.

Je dois me rendre au CLSC chaque matin pour faire changer mon pansement et m’assurer, du même coup, que l’infection ne s’incruste pas dans ma plaie. Les points de suture sont sensibles, très sensibles, mais ils seront enlevés dès lundi prochain si tout est beau. Comme on a déjà repoussé la date de cet événement de quatre jours, on le fera peut-être à nouveau, car le dernier point est extrêmement fragile et me joue bien des tours. À chaque mouvement, il bouge et se met à saigner. Mais on verra bien en temps et lieu.

Je ne prends plus d’antidouleurs, mais ceux-ci m’ont aidé à survivre aux premiers jours de convalescence et ce, en me faisant même halluciner quelques fois! Je vais mieux, j’ai réussi à dormir ma première nuit (pas au complet, j’en conviens) hier soir. Le bonheur total ce matin à mon réveil. Je marche un peu mieux, le canard semblant vouloir se départir (enfin) de moi.

Je n’attends plus que le moment où je pourrai enfin m’asseoir, bouger un peu, manger à la table avec la famille et finalement déménager. Le temps est long, le temps est pénible, mais je vais y arriver. J’ai des moments de fatigue extrême et de détresse, mais je passe au travers. Attendre la guérison du bobo est d’une véritable lourdeur, surtout quand tu en es réduit(e) à gaspiller ton temps sur un matelas devant la tv. Et qu’en plus, ta mère ne fait que rire de la situation quand elle pourrait comprendre qu’une convalescence n’est pas simple du tout, en ayant déjà vécue une, et compatir un peu…

En résumé, j’existe. Je suis toujours en vie, je m’ennuie, je m’emmerde, je suis au bord de l’écœurement total, mais d’ici quelques temps, je pourrai reprendre le cours normal de ma vie. Alors courage, je vais m’en sortir, je me dois de rester positive.

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30 juillet 2009

... En retard, encore.

Ouin ben, mon opération a encore été retardée. Je commence à en avoir plutôt marre, surtout que cette fois-ci, ils ne nous ont pas averti d'avance. Nous nous sommes rendues, ma mère et moi, au bloc opératoire pour enfin se faire annoncer qu'il y avait trop de retard et que je ne pouvais pas passer sous le bistouri le 23 juillet.

Quel cauchemar! J'en dors plus la nuit tellement j'angoisse et on retarde le tout une autre fois. Je n'en peux plus! Au moins, je n'aurai pas à attendre un autre mois à rien faire. Enfin, si tout va bien. Mon opération est désormais inscrite pour le 5 août. Oui oui, dans exactement un peu moins d'une semaine. J'espère que cette fois, ce sera la bonne. Même si je redoute le mal, les anti-douleurs, les pleurs, le stress et la gêne que j'aurai. Ah putain, que ça me fait peur! Mais bon, je dois être une grande fille, non?! J'ai tout de même 20 ans...

BEURK. J'capote, je suis vraiment sur les nerfs et je pense que s'ils annulent encore mon opération, j'leur saute au cou et j'les attaque tous un par un. Oui oui, je vais m'inventer des griffes et les pulvériser avec ma violence grandissante.

Bon, ça suffit, j'arrête. J'me tais et... cristie que j'ai hâte d'être à Montréal, d'avoir un emploi et de ravoir Internet Haute Vitesse pour faire c'que j'veux quand j'veux! Excusez-moi, j'ai la flemme de me relire et de voir si faute(s) il y a. Tant pis.

3 juillet 2009

Un petit saut.

J'imagine qu'il n'y a pas grand chose à dire. C'est toujours le même blabla qui revient encore et encore. Sans internet haute vitesse, mon envie d'écrire diminue aussi. Je me surprends plutôt à écrire sur Word ou dans de vieux cahiers d'école. Je barbouille des feuilles brouillons, je remplis les espaces vides de mots. Mais ici, c'est l'ennui total.

Pourtant, je n'arrive pas à renoncer à ce blog. Malgré les circonstances, je ne veux pas délaisser cet espace ou plutôt, le fermer complètement. Au cas où, j'imagine. Comme aujourd'hui. Je n'ai pas d'excuses à chercher, j'ai la flemme, c'est tout. La paresse me colle bien à la peau, il faut croire.

Dans un peu plus d'un mois, je déménagerai officiellement à Montréal. Depuis deux semaines, mes plans ont changé de A à Z. L'opération que je redoute plus que tout a été reportée au 23 juillet. Soit un mois plus tard. Et il faut prévoir environ deux semaines de récupération, couchée en permanence (ou presque) dans un lit tout en me gavant d'antidouleurs. Super, j'ai hâte, c'est fou. Ouais... enfin, j'espère que tout ira pour le mieux, mais j'ai la chienne.

Pour une quatrième fois, je passerai sur la table d'opération. On dit qu'à chaque passage dans ce département, une partie de notre cerveau meurt. On perd un brin d'intelligence... Je finirai peut-être par devenir dingo. J'ai horreur de l'anesthésie. En plus de la piqûre, je dis toujours des conneries à mon réveil. Peu importe, j'y survivrai bien.

Et sur ce, je vais retourner à mes mille et uns projets d'été. Des toiles à terminer, de la lecture à perte de vue, des idées de décoration, des esquisses de design, des meubles à remodeler, des achats à faire... Bonne pluie tout le monde!

dn16

24 mai 2009

It's the end of a chapter

Encore une fois, je ne suis pas à l'heure dans mes messages. Je traîne de la patte, je paresse, je régresse, je reste silencieuse. Et pourtant, il y a plusieurs choses qui se passent dans ma vie présentement. D'accord, peut-être pas toutes particulièrement intéressantes, mais elles existent tout de même.

D'abord, mon père vient chercher tout mon stock demain matin. Après trois ans passés dans le même appartement et ce, dans la même chambre, je ne reviendrai plus jamais. Il ramasse mes trucs demain et moi, je redescends chez moi lundi après-midi après mon cours inutile, mais obligatoire. Les murs sont blancs, mes armoires sont vides, mes bagages attendent tous au pied de la porte patio.

Et moi? Moi, je deviens nostalgique. Parce qu'il me faut trouver un tiroir où ranger trois années de ma vie. Eh oui, un chapitre se termine, mais un autre commencera sans doute. Trois ans. Trois ans à perfectionner mes arts, à chanter, rire, sourire, danser, faire du théâtre, fêter, pleurer, crier, rager, être en crisse, boire, déconner, magasiner, dépenser, changer mes cheveux, travailler, rusher, m'ennuyer, angoisser, vieillir. Trois ans à être moi. 

Dans ma petite tête, c'est impossible. J'ai fini mon DEC. D'accord, je le terminerai officiellement lundi quand je sortirai de mon ultime cours de CÉGEP à vie, mais déjà, je n'ai plus de travaux. J'ai remis mon dernier projet de session vendredi dernier, tous mes examens sont terminés. J'attends la fin avec impatience. La fin officielle, en tout cas. Oui, après trois ans à m'faire chier, je vais avoir mon diplôme. Bon, encore là, y'a controverse parce que je n'ai pas fini en théâtre musical, mais... je suis sans doute mieux de ne pas retomber sur ce sujet. Surtout avec les paroles de ma professeure qui n'ont fait qu'envenimer l'injustice. Enfin. J'me comprends.

D'ici un mois et demi, ce sera Montréal. La grande ville. La métropole. Des gros buildings, des édifices à perte de vue. Des voitures à tous les coins de rue, des passants, des métros, des mendiants, des cafés, des bibliothèques, des théâtres, des musées, mais surtout, une nouvelle vie. Qui sait? Peut-être réussirais-je à me bâtir un nom et à obtenir des contrats de chant? Seul l'avenir me le dira...

3 mai 2009

Shows, chauds, shows.

Demain, on est le 3 mai et ce sera la fin de mes représentations théâtrales de fin de DEC. Eh oui, déjà. Ma dernière note porte d'ailleurs sur ce week-end que je vis à 110% jusqu'à présent. Deux spectacles sont déjà terminés et il n'en reste plus que deux. Mais j'ai vraiment hâte parce que demain, j'aurai du monde à moi dans la salle. C'est toujours plus plaisant de savoir qu'après le show, tu pourras serrer dans tes bras des gens qui te manquent depuis déjà un bon bout de temps.

Ah, j'ai si hâte de voir ma maman, mon frérot et mes copines. Malheureusement, mon père ne sera pas là car son état ne s'améliore guère. C'est triste, mais je le verrai sans doute cette semaine alors ce n'est pas trop mal. Enfin, tout se déroule correctement jusqu'ici et j'espère m'éclater à fond demain. Mettre toute mon énergie dans ces deux derniers spectacles. Après, c'est bye-bye l'univers du théâtre, bonjour les semi-vacances d'école! Eh oui, c'est possible; mon horaire sera encore retranché. Je n'aurai plus qu'un cours les lundis à 15h20 et un cours les mardis à 14h25. Ah, c'est si dur la vie...

Sur ce, je m'élance vers mon lit pour un gros dodo. Parce que là, franchement, j'suis crevée.

21 avril 2009

Quelques lettres.

J'ai l'insomnie qui me poursuit jusque dans les os, j'ai la tête qui tourne sous les milliers de mots que je m'entête à lire, j'ai le corps à bout de force, mais les représentations théâtrales commenceront sous peu. Dans moins de deux semaines. Après le 3 mai, j'en aurai fini des cours de théâtre. Je pourrai enfin me consacrer sur mes travaux écrits de fin de DEC. Et plus le temps passe, plus j'angoisse. Parce que l'an prochain, rien n'est certain. Je m'élance dans le vide comme une folle et je verrai bien. Mais Dieu sait que j'ai hâte d'avoir entièrement compléter mon cégep. Je ne respire plus que pour cette idée, je crois.

Sinon, je suis toujours en vie. Et je me rends compte que j'ai pris la vilaine habitude de ne plus écrire ici ni d'émettre des commentaires sur les autres blogs. Le tout datant du moment où j'ai perdu mon ordinateur pour quelques mois. Comme quoi les habitudes changent et finissent par s'intégrer. Il me faudra remédier à la situation. Bientôt, un jour, peut-être. Parce que là, je suis dans l'impossibilité.

 

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